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FAQ


  • L’enquête canadienne sur l’alcool et les drogues chez les élèves (ECADE) est une enquête en milieu scolaire menée tous les deux ans au nom de Santé Canada auprès d’un échantillon d’élèves de la 7e à la 12e année (de la 1re à la 5e secondaire au Québec) dans l’ensemble des provinces canadiennes.
  • Elle recueille des données sur la consommation d’alcool, de cannabis et d’autres drogues chez les jeunes ainsi que sur d’autres aspects liés à la santé, comme l’intimidation et la condition mentale et physique autoévaluée.
  • Cette enquête est l’une des plus anciennes études canadiennes sur la consommation de substances psychoactives par les élèves. Elle a débuté en 1994 sous le nom d’Enquête sur le tabagisme chez les jeunes. Elle a été renommée Enquête canadienne sur le tabac, l’alcool et les drogues chez les élèves en 2014 puis a finalement adopté son nom actuel en 2021. Depuis trois décennies, elle suit l’évolution des tendances et des comportements chez les jeunes et fournit des informations qui aident les gouvernements et les communautés à faire face aux défis émergents.
  • CCI Research Inc., une compagnie canadienne de recherche par sondage, a été engagée pour mener à bien le cycle 2025-2026 de l'ECADE.
  • L’adolescence est une période cruciale au cours de laquelle les enfants et les adolescents commencent à avoir des expériences avec l’alcool et différentes substances psychoactives. Comprendre leurs habitudes à ce stade permet d’orienter le développement de meilleurs systèmes de soutien, de stratégies de prévention et de ressources pour réduire les comportements à risque et les préjudices parmi la jeunesse canadienne. Un suivi permanent permet également d’agir rapidement face aux nouvelles tendances, comme le vapotage.
  • Les résultats de l’enquête 2025-2026 seront publiés au cours de l’année 2027. Lors de l’ECADE 2023-2024, nous avons pu constater ce qui suit :

    • L’alcool demeurait la substance psychoactive la plus couramment consommée par les élèves canadiens de la 7e à la 12e année, suivi des produits de vapotage et du cannabis.
    • En moyenne, les élèves canadiens de la 7e à la 12e année essayaient l’alcool à 13 ans et le cannabis à 14 ans.
    • Dans l’ensemble, 15 % des élèves de la 7e à la 12e année ont déclaré avoir utilisé une vapoteuse au cours des 30 derniers jours. Parmi eux, 14 % avaient utilisé une vapoteuse avec de la nicotine et 4 % une vapoteuse sans nicotine.
    • Les élèves ont été interrogés sur l’utilisation de certains médicaments sur ordonnance et de médicaments en vente libre à des fins autres que celles recommandées (y compris des raisons non médicales ou des raisons autres que celles prévues par un professionnel de la santé). Les médicaments sur ordonnance comprennent les médicaments contre le TDAH, les sédatifs et les opioïdes. Les médicaments en vente libre comprennent les somnifères, les stimulants, les médicaments contre le rhume et la toux, le Gravol® et la codéine sans ordonnance. Au total, 8 % des élèves ont déclaré avoir déjà consommé des médicaments sur ordonnance pour atteindre un état d’euphorie au cours de leur vie, et 6 % ont déclaré en avoir consommé au cours des 12 derniers mois.
    • Les opioïdes étaient les médicaments sur ordonnance les plus couramment utilisée pour atteindre un état d’euphorie dans les 12 derniers mois (5 % dans l’ensemble), suivie par les sédatifs (2%) et les médicaments contre le TDAH (2 %).
    • 26 % des élèves pensaient qu’il serait « assez facile » ou « très facile » d’obtenir des antidouleurs sur ordonnance, et 35 % pensaient la même chose concernant les médicaments contre le TDAH.
    • Les médicaments à faible dose de codéine étaient les médicaments en vente libre les plus utilisés par les élèves pour parvenir à un état d’euphorie au cours des 12 derniers mois (7 %), suivi par les dextrométhorphanes (6 %) et les somnifères (5 %).
    • 7 % des élèves avaient consommé une substance illégale au cours des 12 derniers mois. Les plus consommées étaient les hallucinogènes (4 %), les cannabinoïdes synthétiques (4 %) et l’ecstasy (1 %).

    (Source: récupéré à l’adresse https://sante-infobase.canada.ca/consommation-de-substances/ecade/)

  • La consommation de substances psychoactives par les jeunes est une source de préoccupation majeure en raison de ses effets à long terme sur la santé, la sécurité et l’éducation. Compte tenu de l’évolution rapide des comportements, des attitudes et de l’accès des élèves aux substances, il est essentiel de disposer de données à jour pour répondre efficacement à ces défis. L’objectif principal de l’Enquête canadienne sur l’alcool et les drogues chez les élèves (ECADE) est de fournir les données nécessaires pour prendre des décisions éclairées et anticiper les problèmes émergents.
  • Pour répondre à cet objectif, l’enquête recueille tous les deux ans des données complètes sur les comportements en matière de consommation d’alcool et de drogues des élèves de la 7e à la 12e année (1re à la 5e secondaire au Québec) dans les provinces. Depuis sa création en 1994, elle est devenue l’une des enquêtes les plus importantes au monde sur la consommation d’alcool et de substances psychoactives par les élèves ainsi que la principale source d’information de Santé Canada sur ce sujet. Les renseignements fournis par l’enquête sont utilisés pour élaborer des politiques, des programmes et des stratégies visant à lutter contre les comportements à risque et à promouvoir des communautés plus saines et plus sûres, dans l’optique d’améliorer le bien-être des jeunes Canadiens.
  • Un groupe représentatif d’au moins 36 000 jeunes participera à l’enquête, dont environ 6 000 élèves de chaque niveau scolaire (7e à 12e année ou 1re à 5e secondaire au Québec) de toutes les provinces du Canada.
  • L’enquête recueille des informations essentielles sur la consommation d’alcool, de cannabis et de drogues chez les jeunes. Les élèves sont interrogés sur la fréquence à laquelle ils consomment ces substances, sur la manière dont ils les consomment, sur le moment où ils les ont essayées pour la première fois, sur la facilité d’accès à ces dernières et sur l’influence de leurs amis. L’enquête comprend également des questions sur l’intimidation et sur la perception des élèves de leur santé physique et mentale. Cela permet de mieux comprendre les habitudes de consommation de substances psychoactives des jeunes et leur bien-être général.
  • En 2025-2026, les élèves les plus jeunes auront à répondre à moins de questions. Tous les élèves seront interrogés sur l’alcool, le cannabis, le tabagisme, le vapotage, les comportements à risque, l’intimidation et leur perception de leur santé, mais seuls les élèves de la 9e à la 12e année seront interrogés sur les médicaments, les opioïdes et d’autres substances psychoactives. Ce changement permet de réduire la longueur du questionnaire et de diminuer son caractère sensible pour les plus jeunes élèves.
  • Des données démographiques seront également recueillies afin de faciliter l’analyse et la comparaison des réponses entre les différents groupes. Cela nous permet de comprendre comment la consommation de substances psychoactives peut varier d’une population à l’autre et de nous assurer que les résultats de l’enquête reflètent les expériences de tous les groupes. En effet, des groupes différents peuvent consommer à des rythmes différents ou avoir besoin de types de soutien différents.

Chaque école désignera un administrateur scolaire responsable de l’enquête. CCI Research lui fournira le soutien nécessaire, y compris des instructions, une formation et, bien sûr, tout le matériel d’enquête. Chaque école participante devra :

  • Désigner un membre du personnel comme administrateur scolaire. Cette personne sera la personne ressource du projet et supervisera le déroulement de l’enquête au sein de l’école.
  • Fournir des informations sur l’enquête au personnel de l’école, aux élèves et à leurs parents, ou tuteurs, en utilisant les documents et les modèles fournis incluant les formulaires de consentement.
  • Réaliser l’enquête, sur papier ou en ligne, pendant une période de classe de 35 à 40 minutes, sous la supervision d’un enseignant ou d’une enseignante, à une date choisie par l’école. Les élèves devraient remplir le questionnaire en 20 à 30 minutes.
  • Renvoyer les questionnaires papier par coursier à CCI Research en utilisant l’étiquette de retour prépayée qui vous sera fournie.
  • Faire part de ses commentaires sur le processus au moyen d’un formulaire en ligne afin d’aider à améliorer les futures éditions de l’enquête.
  • Ce projet a été examiné par le Comité d’éthique de la recherche de Santé Canada.
  • Le questionnaire est également à la disposition des ministères, des écoles et des conseils/commissions/centres de services scolaires, qui peuvent l’examiner avant d’approuver le projet.
  • Conformément aux protocoles des conseils/commissions/centres de services scolaires, les parents, les tuteurs ainsi que les élèves sont invités à donner leur autorisation ou leur consentement avant de participer au projet. La participation est volontaire et les élèves peuvent choisir de refuser, de se retirer ou de passer une question sans pénalité (voir le processus de consentement ci-dessous).
  • Il n’est pas prévu que participer à cette enquête puisse présenter des risques pour les élèves. Cependant, certains pourraient être exposés à des sujets qui leur sont nouveaux ou peu familiers.
  • Étant donné que la consommation de substances psychoactives fait généralement partie du programme scolaire en matière de santé, les écoles sont encouragées à intégrer l’enquête aux discussions sur ce sujet.
  • Si, au cours de l’enquête, un élève fournissait des renseignements supplémentaires laissant penser qu’il pourrait, ou qu’un autre élève pourrait, courir un quelconque risque, nous serions dans l’obligation de le signaler. Cependant, étant donné que l’enquête n’est pas liée aux noms des élèves, il se pourrait qu’il ne soit pas possible de l’identifier.
  • Les procédures d’autorisation et de consentement utilisées pour l’enquête sont conformes aux exigences requises par les conseils/commissions/centres de services scolaires et les écoles.
  • Tous les élèves de la 7e à la 12e année qui disposent d’un consentement parental, ou qui ont atteint l’âge de consentement et qui ont personnellement accepté de participer, peuvent répondre au questionnaire.
  • Les procédures de consentement peuvent prendre l’une des trois formes suivantes :
    • Procédure de consentement passif : l’école distribue une lettre d’information décrivant l’enquête ainsi qu’un formulaire de retrait aux élèves et à leurs parents ou tuteurs. Si les parents ou tuteurs ne souhaitent pas que leur enfant participe à l’enquête, ils peuvent soit remplir le formulaire de retrait en ligne ou en version papier, soit appeler un numéro gratuit. Les élèves ayant l’âge de donner leur consentement, tel que défini par les politiques provinciales ou du conseil scolaire, peuvent décider seuls de participer ou non à l’enquête.
    • Procédure de consentement actif : l’école distribue une lettre d’information décrivant l’enquête ainsi qu’un formulaire d’autorisation aux élèves et à leurs parents ou tuteurs. Si les parents ou tuteurs acceptent que leur enfant participe, ils doivent remplir le formulaire d’autorisation en ligne ou, si l’école le souhaite, une version papier peut être retournée à l’enseignant de l’enfant. Les élèves doivent avoir un formulaire d’autorisation rempli pour pouvoir participer.
    • Consentement de l’élève : la participation des élèves est volontaire, et tout élève peut refuser de participer à l’enquête, se retirer ou refuser de répondre à des questions de l’enquête à tout moment sans aucune sanction, même si un consentement préalable a été accordé. Les élèves qui ne participent pas à l’enquête doivent travailler silencieusement à leur bureau pendant que les autres élèves répondent au questionnaire.
  • Les réponses au questionnaire sont confidentielles. Les élèves ont pour instruction de n’indiquer ni leur nom, ni aucun détail permettant de les identifier, et de ne pas écrire de messages sur le questionnaire. Le questionnaire papier est constitué de questions pour lesquelles il suffit de noircir des cercles, de sorte que la calligraphie ou d’autres caractéristiques ne peuvent pas être utilisées pour identifier les élèves. Par conséquent, les réponses fournies à l’enquête ne seront associées à aucun nom. D’autres procédures visant à protéger la vie privée sont détaillées ci dessous.
  • Une fois le questionnaire rempli, chaque élève le placera directement dans l’enveloppe de la classe, en toute confidentialité. Une fois l’enquête terminée dans la classe, l’enveloppe sera cachetée devant le groupe, puis retournée à la personne responsable de l’enquête à l’école afin d’être renvoyée à CCI Research pour traitement. Les questionnaires remplis en ligne seront directement transmis à CCI Research et conservés en toute sécurité. Tous les résultats issus des données recueillies lors de l’enquête seront uniquement rapportés par groupe (p. ex. par année scolaire, par sexe) afin de garantir la confidentialité de chaque élève participant.
  • Chaque école participante recevra ses propres résultats dans un format groupé à condition qu’au moins 20 questionnaires aient été reçus pour l’école en question.
  • La liste des écoles participantes ne sera pas publiée.
  • Bien que les écoles reçoivent un rapport pour une utilisation en interne, pour peu qu’au moins 20 questionnaires aient été remplis dans cette école, les résultats par écoles ne seront pas partagés par ailleurs.
  • Les écoles ne seront pas identifiées dans l’ensemble des données à usage public qui sera obtenu.

L’enquête fournira à Santé Canada, aux provinces, aux écoles, aux communautés et aux parents des données pertinentes et fiables sur la consommation d’alcool et de drogues, ainsi que sur d’autres questions connexes. Les avantages potentiels de la participation sont considérables :

  • Pour le pays :
    • Façonner les politiques de santé publique

      Dans le cadre de la Stratégie canadienne sur les drogues et autres substances, cette enquête aide les décideurs politiques à tous les niveaux de gouvernement à suivre les tendances en matière de consommation de substances psychoactives chez les jeunes. Elle constitue ainsi une base pour évaluer et mettre à jour des politiques et pour concevoir des programmes de prévention adaptés aux comportements et aux dangers actuels.

    • Faire progresser l’équité en matière de santé

      L’enquête comporte des données sur les groupes méritant l’équité, avec notamment des ventilations par race, par sexe et selon le handicap, entre autres. Cette approche inclusive permet de mettre en évidence les besoins particuliers de différentes communautés, et ainsi de mettre en place des programmes de santé et éducatifs mieux adaptés et plus efficaces.

    • Informer sur les priorités de la recherche

      Les résultats de l’enquête viennent appuyer les recherches en cours sur la consommation de substances psychoactives et aident à définir les priorités en fonction des tendances émergentes, permettant ainsi de développer des projets de recherche qui ciblent les aspects les plus urgents de la consommation de substances chez les jeunes à travers le Canada.

  • Pour les écoles :
    • Améliorer les programmes et les interventions scolaires

      À la fin de chaque cycle de recueil de données, les écoles participantes ont accès à de précieux rapports, propres à leur établissement. Ces rapports peuvent être utilisés en interne par les responsables ou le personnel concernés afin d’adapter les programmes d’éducation à la santé et les stratégies sanitaires aux besoins et aux risques réels auxquels font face leurs élèves, ce qui rend ces programmes plus adaptés au contexte de l’école. Les rapports des écoles contiennent les résultats de référence provinciaux et nationaux de l’enquête précédente (selon le cas) ainsi que les résultats propres à l’école lorsqu’il y a au moins 20 élèves ayant répondu à l’enquête.

    • Identifier les lacunes en matière de ressources et de soutien

      Les données de l’enquête peuvent également aider à identifier les domaines dans lesquels des ressources et du soutien sont particulièrement nécessaires. Des statistiques détaillées sur la consommation de substances psychoactives par les élèves en fonction des groupes sociodémographiques peuvent aider à identifier des lacunes en matière de prévention, de services de soutien et de ressources en santé mentale propres à la population de chaque école.

    • Suivre les progrès et mesurer l’efficacité

      En participant à l’enquête, les écoles contribuent à mesurer les tendances en matière de consommation de substances psychoactives au fil du temps. Cela permet d’évaluer l’efficacité des programmes et des politiques en place, d’adapter les stratégies si nécessaire et d’assurer des avancées constantes dans la création d’environnements scolaires plus sûrs et plus sains.

  • Pour les parents et les enseignants :
    • Cette enquête permet d’aborder avec les enfants et les élèves la question de la consommation d’alcool et de drogues, ainsi que d’autres questions liées à la santé comme l’intimidation.
  • Pour les provinces :
    • Les résultats de l’enquête peuvent aider les gouvernements provinciaux et les responsables de la santé publique à identifier les sujets de préoccupation et les tendances émergentes, ce qui permettra d’élaborer et d’améliorer les programmes et les politiques susceptibles d’avoir une incidence positive.
  • La participation à l’enquête est totalement volontaire pour toutes les parties.
  • Pour obtenir de plus amples renseignements sur l’enquête, lire la FAQ ou consulter une copie du questionnaire, visitez le site www.ecade.ca.
  • CCI Research dispose également d’un protocole de projet détaillé pouvant être fourni sur demande aux provinces, aux conseils/commissions/centres de services scolaires et aux écoles.
  • L’enquête sera de nouveau réalisée au cours de l’année scolaire 2025-2026 par CCI Research, l’entreprise canadienne mandatée par Santé Canada.
  • Nous nous adressons aux ministères, aux conseils/commissions/centres de services scolaires et aux écoles pour solliciter leur appui, qui est essentiel à la réussite de l’enquête cette année. Plus précisément :
    • Pour les ministères : nous vous demandons de soutenir officiellement ce projet dans votre province et de nous autoriser à communiquer avec les conseils/commissions/centres de services scolaires de votre province. Si vous soutenez le projet, nous ne vous demanderons que trois éléments : 1) une lettre de soutien signée pour confirmer aux conseils scolaires l’appui du ministère; 2) une liste d’écoles par conseil scolaire, comprenant des données de base telles que le nombre d’élèves par niveau et par sexe, afin de nous aider à vérifier notre plan d’échantillonnage; et 3) les coordonnées des conseils scolaires et des écoles faisant partie de l’échantillon.
    • Pour les conseils/commissions/centres de services scolaires : afin de nous assurer d’avoir un groupe d’élèves représentatif et diversifié, une ou plusieurs écoles de votre région ont été choisies au hasard pour participer à l’enquête. Le projet est financé par Santé Canada et a reçu l’appui du ministère de l’Éducation de votre province. Pour aller de l’avant, nous avons besoin de votre soutien. Cela implique de nous autoriser à prendre contact avec les écoles sélectionnées, de signer une lettre de soutien et de nous aider à confirmer la participation de ces écoles au projet.
    • Pour les écoles : afin de nous assurer d’avoir un groupe d’élèves représentatif et diversifié, un échantillon d’écoles a été choisie au hasard pour participer à l’enquête. Le projet est financé par Santé Canada et a reçu l’autorisation du ministère de l’Éducation de votre province et de votre conseil/commission/centre de services scolaire (le cas échéant). Nous sollicitons la collaboration des écoles sélectionnées pour participer à l’enquête 2025-2026, notamment en désignant un membre du personnel comme « administrateur scolaire » qui travaillera avec CCI Research à la bonne réalisation de l’enquête. Notre équipe a une grande expérience de cette enquête et vous fournira des instructions détaillées, une formation et un soutien continu afin de minimiser les perturbations pour votre personnel.


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